Un film prémonitoire des maux qui défigurent la planète. « Un film très hollandais, réalisé en se vautrant, en savourant l’eau, le vent et les cieux élevés. Il s’agit des Waddenzee, une zone entre terre et mer, une jungle de quelques mètres d’épaisseur. Le film a une construction visant à joindre le minuscule au gigantesque : des larves aux centrales nucléaires. Entre les deux, l’image naît de notre relation déformée avec Mère Nature et de la façon dont nous pataugeons à travers elle. » Johan van der Keuken.