Festival international Jean Rouch 2017

Le 36e Festival International Jean Rouch aura lieu du 8 novembre au 3 décembre 2017 à Paris.
Dans le cadre de sa compétition internationale, vous pourrez voir ou revoir trois films qui avaient été présentés au sein de la compétition internationale du 8e festival Filmer le travail :

Mardi 14 novembre 2017

Lieu : Musée de l’Homme
Horaire : 17h30

Marta et Karina, en discrète compagnie

Un film de Philippe Cronogorac
Documentaire / France / 69′ / 2015 / ISKRA / IRD 

Marta et Karina vendent du sexe pour s’assurer un avenir meilleur. Dans leur chambre à coucher, les hommes défilent. Entre les passes, je m’installe à leur côté. Au fil des clients, des bonnes et des mauvaises rencontres, Marta et Karina nous racontent l’intimité de leurs choix, leur regard sur les hommes, la prostitution.

 

Jeudi 16 novembre 2017

Lieu : Musée de l’Homme
Horaire : 14h00

La colère dans le vent

Un film de Amina Weira
Documentaire / Niger / 54′ / 2016 / Vrai vrai Films – Mention spéciale du jury Filmer le  travail 2017

Dans ma ville d’origine Arlit, au Nord du Niger, Areva exploite l’uranium depuis 1976. Aujourd’hui, une bonne partie de cette région, balayée par les vents de sable, est contaminée. La radioactivité ne se voit pas et la population n’est pas informée des risques qu’elle encourt. Mon père, travailleur de la mine d’uranium en retraite, est au cœur de ce film. Il dépoussière ses souvenirs, les trente-cinq années de son passage à la mine. Grâce à lui, je vais à la rencontre d’autres anciens travailleurs et des plus jeunes qui ont certainement leur mot à dire.

 

Vendredi 17 novembre 2017

Lieu : Musée de l’Homme
Horaire : 14h00

Les ramasseurs d’herbes marines

Un film de Maria Murashova
Documentaire / France, Russie / 65′ / 2016 / Macalube Films – Prix « Valorisation de la recherche » Filmer le  travail 2017

Dans les îles russes Solovki au large de la mer Blanche, Rebolda est inhabitée depuis longtemps, sauf durant quelques mois par les saisonniers qui cueillent les algues. Il n’y a ni électricité ni moyens de communication, il faut parcourir 16 km dans un bois pour atteindre le village. Ici les gens vivent comme sur une île déserte. Tous sont ici de passage. Mais quelle empreinte Rebolda leur laisse t-il ? Et que ces hommes abandonnent-ils à Rebolda ?

 

 

=> Pour plus d’information retrouvez le programme complet du festival.